Réaffirmant la parfaite impartialité du Saint-Siège, le pape Benoît XV envoie aux chefs des belligérants, une lettre demandant « une paix blanche », une paix sans vainqueur ni vaincu, sans annexion ni indemnité. Son exhortation à la paix n’est pas entendue, le bruit des canons est trop fort.