Le Corps canadien rentre avec difficulté, dans des navires peu adaptés. Seuls deux ports ne sont pas pris dans les glaces, Saint-John et Halifax, toujours en travaux après l’explosion qui l’a entièrement ravagé. À l’arrivée, les trains peinent à prendre tout le monde, les wagons sont bondés. La grogne monte. Quelques incidents éclatent. Les autorités britanniques sont forcées d’hâter le rapatriement des soldats canadiens. À la fin de l’été, la totalité est rentrée au pays.